La confirmation pour ta vie !Jour 6 – L’Eucharistie

Jour 6 – L’Eucharistie

Œuvre de sr Mercedes, Abbaye de Dourgne

 

L’Eucharistie, c’est l’Amour de Dieu livré pour nous, pour nous transformer et nous sauver.

Lavement des pieds – Sœur Mercedes

 

 

C’est le corps du Christ livré par amour qui nous donne la force de livrer notre vie pour nos frères. C’est dans la fidélité à l’Eucharistie, la messe, que nous disons “Oui” à Dieu pour agir en nous, lentement, en profondeur. Il nous apprend à aimer toujours davantage, et à le faire aimer.
C’est pour cela que Jésus a voulu nous montrer ce signe du lavement des pieds comme un signe ultime d‘amour : en aimant les autres jusqu’à nous donner nous-mêmes, nous trouvons notre bonheur. Comme le lavement des pieds, l’Eucharistie est un don de Dieu immense : saurons-nous nous abandonner à sa grâce, lui faire confiance ?
C’est cette alliance de don et d’abandon que sœur Mercedes a admirablement représentée sur sa sculpture

 

 

 

Scène du film Indiana Jones et la dernière croisade

 

 

De même, sur l’image tirée d’un film, quand le chevalier gardant le Graal reçoit l’aventurier, les deux manières complémentaires de servir sont présentes : être à genoux et être debout, prier et agir, se retirer du monde et être pleinement dans le monde.

L’Eucharistie, la messe

Voici ce qui est dit de l’Eucharistie dans le Youcat

Des mots pour parler de l'Eucharistie — Youcat 208 à 223
  1. Qu’est-ce que l’eucharistie ?

La sainte EUCHARISTIE est le SACREMENT par lequel Jésus-Christ livre pour nous son Corps et son Sang – par lequel il se donne lui-même -, afin que nous aussi nous nous donnions à lui par amour et que nous nous unissions à lui dans la sainte COMMUNION. Par elle, nous sommes liés au seul Corps du Christ, l’Église. [1322, 1324, 1409]

Après le baptême et la CONFIRMATION, l’EUCHARISTIE est le troisième SACREMENT de l’initiation chrétienne. L’eucharistie est le centre mystérieux de l’ensemble de ces sacrements, car le sacrifice historique de Jésus sur la croix est rendu présent de manière cachée et non sanglante pendant la consécration. Ainsi l’eucharistie est « source et sommet de toute la vie chrétienne » (concile Vatican II, Lumen Gentium, 11). Tout est ordonné à elle ; il n’y a pas de plus grand bien que nous puissions obtenir. Quand nous mangeons le pain rompu, nous nous unissons à l’amour du Christ qui a livré son corps pour nous sur le bois de la croix ; quand nous buvons à la coupe, nous nous unissons à celui qui, dans son sacrifice, est allé jusqu’à verser son Sang pour nous. Nous n’avons pas inventé ce rite. Jésus lui-même a célébré la dernière Cène avec ses disciples, anticipant ainsi sa mort. Il s’offrit à ses disciples sous les signes du pain et du vin et les exhorta à célébrer l’EUCHARISTIE à partir de ce moment-là et au-delà de sa mort. Faites ceci en mémoire de moi ! (1 Co 11, 24.)

  1. Quand le Christ a-t-il institué l’eucharistie ?

Jésus a institué l’EUCHARISTIE la veille de sa mort, dans la nuit où il fut livré (1 Co 11, 23), quand il rassembla les APÔTRES autour de lui dans le Cénacle, et qu’il célébra avec eux la dernière Cène. [1323, 1337-1340]

  1. Comment le Christ a-t-il institué l’eucharistie ?

Je vous ai pourtant transmis, moi, ce que j’ai reçu de la Tradition qui vient du Seigneur : la nuit même où il fut livré, le Seigneur Jésus prit du pain, puis, ayant rendu grâce, il le rompit, et dit : « Ceci est mon corps, donné pour vous. Faites cela en mémoire de moi. » Après le repas, il fit de même avec la coupe, en disant : « Cette coupe est la nouvelle alliance en mon Sang. Chaque fois que vous en boirez, faites cela en mémoire de loi » (1 Co 11, 23-25).

Ce récit, le plus ancien que nous ayons sur ce qui se passa au Cénacle, nous est relaté par l’APÔTRE Paul. Il n’en fut pas un témoin oculaire, mais il transcrivit ce qui était conservé comme un saint mystère et pratiqué dans la liturgie de la jeune communauté chrétienne.

  1. Quelle est l’importance de l’eucharistie pour l’Église ?

La célébration de l’EUCHARISTIE est le cœur de la communication chrétienne. En elle l’Église devient elle-même. [1325]

Ce n’est pas parce que nous payons le denier du culte, ni parce que nous nous entendons bien, ni parce que nous avons été rattachés à telle ou telle paroisse que nous faisons Église, mais parce que, dans l’eucharistie, nous recevons le Corps du Christ, et que, à chaque fois, nous devenons progressivement le Corps du Christ.

  1. Quels noms donne-t-on au repas de Jésus avec nous, et que signifient-ils ?

Différents noms ont été donnés à l’eucharistie, comme pour faire sentir la richesse de ce saint sacrifice : sainte messe, sacrifice de la messe, repas du Seigneur, fraction du pain, assemblée eucharistique, mémorial de la Passion, de la mort et de la Résurrection, sainte et divine liturgie, saints mystères, sainte COMMUNION. [1328 – 1332]

Saint sacrifice, sainte messe, sacrifice de la messe : l’unique sacrifice du Christ, qui accomplit et surpasse tous les sacrifices, devient présent dans la célébration eucharistique ? L’ÉGLISE et les fidèles s’unissent par leur propre offrande au sacrifice du Christ. Le mot « messe » vient de la bénédiction finale Ite missa est : allez maintenant, vous êtes envoyés en mission !

Repas du Seigneur : chaque célébration eucharistique est toujours et à chaque fois la Cène unique que Jésus a célébrée avec ses disciples, et en même temps l’anticipation du banquet que le Seigneur célébrera à la fin des temps avec l’humanité sauvée. Ce n’est pas nous, les hommes, qui faisons la messe – c’est le Seigneur qui nous appelle à la messe, et qui est là, présent mystérieusement.

Fraction du pain : la « fraction du pain » était un rite ancien propre au repas juif, que Jésus a repris lors de la dernière Cène, pour exprimer qu’il se livrait pour nous tous (Rm 8, 32). Après sa résurrection, les disciples le reconnurent à la fraction du pain. C’est par l’expression « fraction du pain » que les premiers chrétiens désignaient leurs célébrations liturgiques de la Cène.

Assemblée eucharistique : la célébration du repas du Seigneur se fait aussi en assemblée des fidèles qui rendent grâce, expression visible de l’ÉGLISE.

Mémorial de la passion, de la mort et de la résurrection du Seigneur : lors de la célébration eucharistique, l’assemblée ne se célèbre pas elle-même, elle découvre et célèbre toujours le présent du passage salvifique de Jésus à la vie, par sa mort et sa résurrection.

Sainte et divine liturgie, saints mystères : la célébration eucharistique réunit l’Église du ciel et de la terre en une seule fête. On parle aussi de Très Saint Sacrement parce que les offrandes eucharistiques dans lesquelles Jésus est présent sont, en quelque sorte, ce qu’il y a de plus saint au monde.

Sainte communion (communio) : on parle de sainte COMMUNION parce que nous nous unissons au Christ dans la sainte messe, et que par lui nous sommes unis les uns aux autres.

  1. Quelles sont les parties essentielles de la messe ?

Toute la messe (célébration eucharistique) se déroule en deux parties, la liturgie de la Parole et la célébration eucharistique à proprement parler. [1346 – 1347]

Au cours de la liturgie de la Parole, Dieu veut nous parler et nous écoutons des lectures tirées de l’ANCIEN TESTAMENT, ainsi qu’une lecture d’Évangile. C’est aussi le moment de la prédication et des intercessions de tous les hommes. La célébration eucharistique qui vient ensuite comprend la présentation du pain et du vin, puis leur consécration, puis la COMMUNION.

  1. Quelle est la structure de la messe ?

La messe commence par le rassemblement des fidèles et la procession du PRETRE et des servants d’autel. Après la salutation du prêtre vient la confession des péchés que tous font ensemble, et qui se termine par le KYRIE. Les dimanches (excepté pendant les temps du Carême et de l’Avent) et les jours de fête on chante ou on récite ensuite le GLORIA. La prière du jour introduit une ou deux lectures de l’ANCIEN et du NOUVEAU TESTAMENT. L’acclamation de l’ALLELUIA prend place avant l’Évangile. Les dimanches et jours de fête, après la proclamation de l’Évangile, le prêtre ou le DIACRE prononce une HOMÉLIE. En ces mêmes dimanches et jours de fêtes, l’assemblée professe sa foi commune dans le CREDO, auquel s’ajoutent les intercessions de la « prière universelle ».

La deuxième partie de la messe commence par la préparation des offrandes, qui se termine par une prière sur les offrandes. Le sommet de la célébration eucharistique est la prière eucharistique, introduite par la préface et le SANCTUS. C’est alors que les offrandes du pain et du vin sont changées en Corps et Sang du Christ. La prière eucharistique se termine par la DOXOLOGIE qui débouche sur la prière du Père (le Notre-Père). Viennent ensuite la prière pour la paix, l’?AGNUS DEI, la fraction du pain et la communion, ce qui, en règle générale, ne se fait que sous l’espèce du Corps du Christ. La messe s’achève dans le recueillement, l’action de grâces, par une prière finale et une BÉNÉDICTION par le prêtre. [1348 – 1355]

Le KYRIE :

Seigneur, prends pitié (de nous) ! Seigneur, prends pitié (de nous) !

Ô Christ, prends pitié (de nous) ! Ô Christ, prends pitié (de nous) !

Seigneur, prends pitié (de nous) ! Ô Christ, prends pitié (de nous) !

Kyrie eleison !                R/ Kyrie eleison !               

Christe eleison !            R/ Christe eleison !  

Kyrie eleison !                R/ Kyrie eleison !  

            

Le GLORIA :

 Gloire à Dieu, au plus haut des cieux,
et paix sur la terre aux hommes qu’il aime.
Nous te louons, nous te bénissons,
nous t’adorons,
nous te glorifions, nous te rendons grâce
pour ton immense gloire, Seigneur Dieu, Roi du ciel,
Dieu le Père tout-puissant.
Seigneur, Fils unique, Jésus-Christ.
Seigneur Dieu, Agneau de Dieu,
Le Fils du Père ;
Toi qui enlèves le péché du monde,
prends pitié de nous ;
Toi qui enlèves le péché du monde,
reçois notre prière ;
Toi qui es assis à la droite du Père,
prends pitié de nous. Car toi seul et saint,
Toi seul es Seigneur,
Toi seul es le Très-Haut : Jésus-Christ, avec le Saint-Esprit dans la gloire de dieu le Père ;
Amen.

Gloria in excelsis Deo
et in terra pax hominibus bonae voluntatis.
Laudamus te, benedicimus te,
adoramus te, glorificamus te,
gratias agimus tibi propter magnam gloriam tuam,
Domine Deus, Rex caelestis,
Deus Pater omnipotens,
Domine Fili unigenite, Iesu Christe,
Domine Deus, Agnus Dei,
Filius Patris,
qui tollis peccata mundi, miserere nobis ;
qui tollis peccata mundi, suscipe deprecationem nostram.
Qui sedes ad dexteram Patris, miserere nobis.
Quoniam tu solus Sanctus,
Tu solus Altissimus, Iesu Christe,
Cum Sancto Spiritu :
in gloria Dei Patris. Amen.

 

Le SANCTUS :

Saint, Saint, Saint le Seigneur, Dieu de l’Univers,
Le ciel et la terre sont remplis de ta gloire
Hosanna, au plus haut des cieux.
Béni, soit celui qui vient au nom du Seigneur,
Hosanna, au plus haut des cieux.

Sanctus, Sanctus, Sanctus Dominus Deus Sabaoth.
Pleni sunt caeli et terra gloria tua.
Hosanna in excelsis.
Benedictus qui venit in nomine Domini.
Hosanna in excelsis.

 

L’AGNUS DEI :

Agneau de Dieu, qui enlèves le péché du monde,
prends pitié de nous.
Agneau de Dieu, qui enlèves le péché du monde,
prends pitié de nous.
Agneau de Dieu, qui enlèves le péché du monde, donne-nous la paix.

Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, miserere nobis.
Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, miserere nobis.
Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, donna nobis pacem.

  1. Qui préside la célébration eucharistique ?

En fait, c’est le Christ lui-même qui préside toute célébration eucharistique. L’ÉVÊQUE ou le PRÊTRE le représente. [1348]

C’est la foi de l’ÉGLISE : le célébrant se tient à l’autel in persona Christi capiti (du latin, « en la personne du Christ-Tête »). Cela signifie que les PRÊTRES n’agissent pas seulement à la place et sur mandat du Christ, mais qu’en raison de leur consécration, c’est le Christ, en tant que Tête de l’Église, qui agit par eux.

  1. De quelle manière le Christ est-il là, quand l’eucharistie est célébrée ?

Le Christ est mystérieusement, mais réellement présent dans le SACREMENT de l’EUCHARISTIE. Chaque fois que l’ÉGLISE exécute la demande de Jésus : Faites cela en mémoire de moi (1 Co 11, 25), qu’elle rompt le pain et tend la coupe, c’est l’événement même du temps de Jésus qui se réalise aujourd’hui : le Christ s’offre vraiment à nous en sacrifice et nous obtenons vraiment de participer à son offrande. Le sacrifice que le Christ a offert une fois pour toutes sur la croix est rendu présent et actuel sur l’autel : il accomplit l’œuvre de notre rédemption. [1362-1367]

  1. Qu’est-ce qui se produit dans l’Église quand elle célèbre l’eucharistie ?

Chaque fois que l’Église célèbre l’EUCHARISTIE, elle se trouve devant la source d’où elle jaillit et se régénère sans cesse : en « mangeant » le Corps du Christ, l’Église devient Corps du christ (qui est un autre nom pour désigner l’Église). Dans l’offrande du Christ qui se donne à nous avec son âme et son Corps, il y a place pour notre vie entière. Notre travail, nos souffrances et nos joies, nous pouvons tout unir à l’offrande du christ. Quand nous nous offrons à Dieu de cette manière, nous sommes transformés : nous plaisons à Dieu et nous sommes pour les autres une sorte de bon pain nourrissant. [1368 – 1372, 1414]

Nous récriminons sans cesse contre l’Église, comme si elle n’était qu’une réunion d’êtres humains plus ou moins bons. En réalité, l’Église est ce qui se forme chaque jour mystérieusement sur l’autel. Dieu se donne pour chacun de nous et il veut nous transformer par la COMMUNION avec lui. Une fois transformés, nous devons transformer le monde. Tout le reste concernant ce qu’est l’Église est de second ordre.

  1. Comment devons-nous honorer correctement le Seigneur présent sous le pain et le vin ?

Parce que Dieu est réellement présent sous les espèces consacrées du pain et du vin, nous devons conserver ces saintes espèces avec le plus grand respect, et adorer notre Seigneur et Sauveur présent dans le Saint Sacrement. [1378-1381, 1418]

Si, après la célébration de l’EUCHARISTIE, il reste encore des hosties consacrées, on les garde dans des ciboires placés dans le TABERNACLE. Comme le Saint-Sacrement y est présent, le tabernacle est, dans toutes les églises, le lieu qu’il faut respecter le plus. Nous faisons une génuflexion devant le tabernacle. Certes, celui qui marche vraiment à la suite du Christ le reconnaîtra dans les plus pauvres, et le servira à travers eux. Mais il devra aussi trouver du temps pour adorer le Seigneur en silence devant le tabernacle et lui offrir son amour.

  1. A quelle fréquence un catholique doit-il participer à une célébration eucharistique ?

L’Église fait l’obligation à tout chrétien catholique de participer à la messe tous les dimanches et jours de fête. Celui qui recherche vraiment l’amitié de Jésus répond, aussi souvent qu’il le peut, à l’invitation personnelle de Jésus à son repas de fête. [1389, 1417]

À vrai dire, l’expression « obligation du dimanche » est aussi inadéquate pour un vrai chrétien que serait l’« obligation d’embrasser » pour un amoureux. Personne ne peut avoir une relation vivante avec Jésus, s’il ne va pas là où il nous attend. C’est pourquoi la messe est depuis toujours pour les chrétiens « le cœur du dimanche », et le rendez-vous le plus important de la semaine.

  1. Comment dois-je me préparer pour pouvoir recevoir l’eucharistie ?

Celui qui veut recevoir l’EUCHARISTIE doit être catholique. S’il est conscient d’avoir commis un péché grave, il doit d’abord se confesser. Avant de s’approcher de l’autel, il faut se réconcilier avec son prochain. [1389, 1417]

Jusqu’à il y a quelques années, on avait coutume de ne rien manger pendant au moins trois heures avant la messe ; on voulait ainsi se préparer à la rencontre avec le Christ dans la COMMUNION. Aujourd’hui, l’ÉGLISE recommande au moins une heure de jeûne. Un autre signe de respect est de bien s’habiller – car, finalement, c’est bien avec le Seigneur de l’univers que nous avons rendez-vous !

  1. Comment la communion me transforme-t-elle ?

Chaque  COMMUNION m’unit plus profondément au Christ, fait de moi un membre vivant du Corps du Christ, renouvelle les grâces que j’ai reçues au baptême et à la  CONFIRMATION, et me rend fort dans le combat contre le péché. [1391 – 1397, 1416]

  1. Peut-on donner l’eucharistie à des non-catholiques ?

La  COMMUNION exprime l’unité du Corps du Christ. Fait partie de l’ Église catholique celui qui est baptisé dans cette Église, qui partage sa foi, et qui vit en unité avec elle. Il serait contradictoire que l’Église invite à la communion des personnes ne partageant (pas encore) ni sa foi ni sa vie. La crédibilité du signe de l’EUCHARISTIE en pâtirait. [1391 – 1397, 1416]

Il est possible à des orthodoxes de demander, individuellement, à recevoir la COMMUNION au cours d’une messe catholique, parce que les orthodoxes partagent la foi en l’eucharistie de l’Église catholique, bien que leur communauté ne vive pas encore ne pleine unité avec elle. S’agissant de membres d’autres confessions chrétiennes, la communion peut leur être donnée en cas d’urgence grave, et s’ils ont une pleine foi en la présence eucharistique. L’objectif et le désir de tout le mouvement œcuménique est de parvenir à des célébrations eucharistiques communes entre les chrétiens catholiques et protestants, toutefois, ce serait une erreur, et ce n’est donc pas permis actuellement, d’organiser ces célébrations de la Cène en commun, tant que l’on n’a pas constitué la réalité du Corps du Christ dans la foi une et dans l’Église une. Les autres assemblées œcuméniques où des chrétiens de différentes confessions prient les uns avec les autres sont une bonne chose, souhaitée par l’Église catholique.

  1. Dans quelle mesure l’eucharistie est-elle une anticipation de la vie éternelle ?

Jésus a promis à ses disciples, et donc à nous aussi, d’être un jour assis à sa table. C’est pourquoi toute messe est « le souvenir de sa passion, où la grâce emplit notre âme, où nous est donné le gage de la vie à venir ». [1402 – 1405]

La prière de la louange

Comment louer Dieu ?

Liste d’applications et de site pour louer Dieu et le prier :

Qu’est-ce qu’un miracle eucharistique ? Le site du Bienheureux Carlo Acuti http://www.miracolieucaristici.org/fr/Liste/list.html

 

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Jour 7 - L'Envoi